Vous étiez un homme qui était au service du roi Henri VIII. Vous
n'étiez pas très proche de lui, bien que vous le voyiez fréquemment.
Vous étiez un écuyer de ses écuries et vous vous occupiez
particulièrement des chevaux du roi. Vous les entraîniez, vous assuriez
leur entretien et vous en étiez responsable, car quelquefois le roi
laissait des courtisans, et même sa fille Élisabeth, monter l’un d’eux.
Vous avez suivi pas à pas la vie tumultueuse du souverain et ses
déboires matrimoniaux. Vous avez approché de près sa quatrième femme,
car vous connaissez bien l'amant de celle-ci, et même vous avez craint
un instant pour votre vie, mais heureusement pour vous vous n’avez pas
été incriminé dans cette affaire (bien qu’en réalité vous ayez été au
courant). Et le roi devenait de moins en moins actif et comme il
ne montait plus guère à cheval, il vous envoya donc rejoindre sa fille
Élisabeth pour que vous assuriez sa sécurité, car il prévoyait une crise
dynastique.
La jeune princesse était une excellente cavalière, mais pour l'heure, elle restait plutôt dans son manoir d'Hatfield où elle étudiait avec enthousiasme les sciences, l'histoire et la géographie. Et c'était mieux ainsi, car il ne valait mieux pas qu'elle se montre trop à Londres.
Henri VIII mort, son jeune héritier monta sur le trône, mais c'était un enfant souffreteux. Bien des complots allaient bon train à la cour pour une éventuelle rapide succession au trône, ce qui ne manqua pas d'arriver et ainsi la reine Marie Tudor prit le pouvoir, réinstaurant le catholicisme.
Élisabeth, étant protestante, resta donc éloignée de Londres. Pour vous, la vie était relativement calme et vous organisiez parfois des chasses pour elle, mais c'était en quelque sorte les seuls devoirs de votre charge. Élisabeth était maintenant sous la tutelle du Lord Cecil.
Vous avez donc pensé à vous marier à la veuve d'un gentilhomme et vous avez demandé la permission au Lord Cecil de quitter le service d'Élisabeth. Ce que celui-ci refusa, car il pressentait que les choses allaient bouger et il vous demanda de rester en tant que « garde du corps » de la princesse.
Vous aviez bien épousé votre veuve, mais vous résidiez toujours à Hatfield où vous aviez un appartement. Quand Élisabeth devint reine, vous l'avez suivie et vous avez été chargé de constituer un petit noyau d'hommes sûrs pour la protéger, les rumeurs d'assassinats allant bon train.
Dès lors, vous avez plus une fonction honorifique que réelle et vous obéissiez aux ordres du lord Cecil. Plus tard, quand Walsingham entra au service de la reine, il vous prit dans son cabinet « d'espions » et vous avez alors effectué plusieurs missions en France. Avec le temps, vous êtes devenu un de ses hommes de confiance et souvent celui-ci vous chargeait de « basses besognes ».
Cela ne vous plaisait pas, il y avait trop de cruauté et de tortures dans vos missions, mais vous étiez en place dans un réseau qui ressemblait à une toile d'araignée et dont vous ne pouviez pas sortir : vous en saviez trop… Et même si vous aviez fui le pays, on vous aurait retrouvé.
Pourtant, vous ne pouviez plus continuer votre « travail », qui allait contre votre morale et vos principes profonds. Les trahisons et les machinations mortelles étaient devenues un fardeau pour votre conscience. Vous n’étiez pas un fanatique de quelque religion que ce soit et, si vous aimiez votre reine, vous craigniez pour votre salut éternel ! Vous en faisiez des cauchemars et vous êtes tombé dans une profonde dépression, qui vous menai même à avoir des hallucinations, qui vous replongeaient dans vos actes passés Et un jour, vous vous êtes pendu pour y échapper.
Vous étiez un homme qui était au service du roi Henri VIII. Vous
n'étiez pas très proche de lui, bien que vous le voyiez fréquemment.
Vous étiez un écuyer de ses écuries et vous vous occupiez
particulièrement des chevaux du roi. Vous les entraîniez, vous assuriez
leur entretien et vous en étiez responsable, car quelquefois le roi
laissait des courtisans, et même sa fille Élisabeth, monter l’un d’eux.
Vous avez suivi pas à pas la vie tumultueuse du souverain et ses
déboires matrimoniaux. Vous avez approché de près sa quatrième femme,
car vous connaissez bien l'amant de celle-ci, et même vous avez craint
un instant pour votre vie, mais heureusement pour vous vous n’avez pas
été incriminé dans cette affaire (bien qu’en réalité vous ayez été au
courant).La jeune princesse était une excellente cavalière, mais pour l'heure, elle restait plutôt dans son manoir d'Hatfield où elle étudiait avec enthousiasme les sciences, l'histoire et la géographie. Et c'était mieux ainsi, car il ne valait mieux pas qu'elle se montre trop à Londres.
Henri VIII mort, son jeune héritier monta sur le trône, mais c'était un enfant souffreteux. Bien des complots allaient bon train à la cour pour une éventuelle rapide succession au trône, ce qui ne manqua pas d'arriver et ainsi la reine Marie Tudor prit le pouvoir, réinstaurant le catholicisme.
Élisabeth, étant protestante, resta donc éloignée de Londres. Pour vous, la vie était relativement calme et vous organisiez parfois des chasses pour elle, mais c'était en quelque sorte les seuls devoirs de votre charge. Élisabeth était maintenant sous la tutelle du Lord Cecil.
Vous avez donc pensé à vous marier à la veuve d'un gentilhomme et vous avez demandé la permission au Lord Cecil de quitter le service d'Élisabeth. Ce que celui-ci refusa, car il pressentait que les choses allaient bouger et il vous demanda de rester en tant que « garde du corps » de la princesse.
Vous aviez bien épousé votre veuve, mais vous résidiez toujours à Hatfield où vous aviez un appartement. Quand Élisabeth devint reine, vous l'avez suivie et vous avez été chargé de constituer un petit noyau d'hommes sûrs pour la protéger, les rumeurs d'assassinats allant bon train.
Dès lors, vous avez plus une fonction honorifique que réelle et vous obéissiez aux ordres du lord Cecil. Plus tard, quand Walsingham entra au service de la reine, il vous prit dans son cabinet « d'espions » et vous avez alors effectué plusieurs missions en France. Avec le temps, vous êtes devenu un de ses hommes de confiance et souvent celui-ci vous chargeait de « basses besognes ».
Cela ne vous plaisait pas, il y avait trop de cruauté et de tortures dans vos missions, mais vous étiez en place dans un réseau qui ressemblait à une toile d'araignée et dont vous ne pouviez pas sortir : vous en saviez trop… Et même si vous aviez fui le pays, on vous aurait retrouvé.
Pourtant, vous ne pouviez plus continuer votre « travail », qui allait contre votre morale et vos principes profonds. Les trahisons et les machinations mortelles étaient devenues un fardeau pour votre conscience. Vous n’étiez pas un fanatique de quelque religion que ce soit et, si vous aimiez votre reine, vous craigniez pour votre salut éternel ! Vous en faisiez des cauchemars et vous êtes tombé dans une profonde dépression, qui vous menai même à avoir des hallucinations, qui vous replongeaient dans vos actes passés Et un jour, vous vous êtes pendu pour y échapper.
Et le roi devenait de moins en moins actif et comme il ne montait plus guère à cheval, il vous envoya donc rejoindre sa fille Élisabeth pour que vous assuriez sa sécurité, car il prévoyait une crise dynastique.
La jeune princesse était une excellente cavalière, mais pour l'heure, elle restait plutôt dans son manoir d'Hatfield où elle étudiait avec enthousiasme les sciences, l'histoire et la géographie. Et c'était mieux ainsi, car il ne valait mieux pas qu'elle se montre trop à Londres.
Henri VIII mort, son jeune héritier monta sur le trône, mais c'était un enfant souffreteux. Bien des complots allaient bon train à la cour pour une éventuelle rapide succession au trône, ce qui ne manqua pas d'arriver et ainsi la reine Marie Tudor prit le pouvoir, réinstaurant le catholicisme.
Élisabeth, étant protestante, resta donc éloignée de Londres. Pour vous, la vie était relativement calme et vous organisiez parfois des chasses pour elle, mais c'était en quelque sorte les seuls devoirs de votre charge. Élisabeth était maintenant sous la tutelle du Lord Cecil.
Vous avez donc pensé à vous marier à la veuve d'un gentilhomme et vous avez demandé la permission au Lord Cecil de quitter le service d'Élisabeth. Ce que celui-ci refusa, car il pressentait que les choses allaient bouger et il vous demanda de rester en tant que « garde du corps » de la princesse.
Vous aviez bien épousé votre veuve, mais vous résidiez toujours à Hatfield où vous aviez un appartement. Quand Élisabeth devint reine, vous l'avez suivie et vous avez été chargé de constituer un petit noyau d'hommes sûrs pour la protéger, les rumeurs d'assassinats allant bon train.
Dès lors, vous avez plus une fonction honorifique que réelle et vous obéissiez aux ordres du lord Cecil. Plus tard, quand Walsingham entra au service de la reine, il vous prit dans son cabinet « d'espions » et vous avez alors effectué plusieurs missions en France. Avec le temps, vous êtes devenu un de ses hommes de confiance et souvent celui-ci vous chargeait de « basses besognes ».
Cela ne vous plaisait pas, il y avait trop de cruauté et de tortures dans vos missions, mais vous étiez en place dans un réseau qui ressemblait à une toile d'araignée et dont vous ne pouviez pas sortir : vous en saviez trop… Et même si vous aviez fui le pays, on vous aurait retrouvé.
Pourtant, vous ne pouviez plus continuer votre « travail », qui allait contre votre morale et vos principes profonds. Les trahisons et les machinations mortelles étaient devenues un fardeau pour votre conscience. Vous n’étiez pas un fanatique de quelque religion que ce soit et, si vous aimiez votre reine, vous craigniez pour votre salut éternel ! Vous en faisiez des cauchemars et vous êtes tombé dans une profonde dépression, qui vous menai même à avoir des hallucinations, qui vous replongeaient dans vos actes passés Et un jour, vous vous êtes pendu pour y échapper.
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